Le baptême d’un bateau : tout un symbole.
A quelques heures du départ de la Transat AG2R La Mondiale, le Figaro Safran-Guy Cotten ne pouvait prendre la mer sans se soumettre à cette tradition ô combien importante pour les marins. Sous les applaudissements d’un public venu nombreux et sous le regard bienveillant de Gwénolé Gahinet, Hélène Moreau-Leroy, la marraine, a brisé la bouteille de champagne sur le balcon avant du bateau. Un moment émouvant pour le jeune skipper « C’est un événement important pour moi. Le baptême marque la concrétisation du projet, le lancement officiel. Je suis très heureux d’avoir mes deux partenaires aujourd’hui à mes côtés. Nous allons vivre ensemble deux belles années. Maintenant, j’ai hâte d’être au départ ! ».
Une marraine attentive
« Je suis ravie d’accompagner Gwénolé dans son parcours au sein de Safran. En tant que marraine je veillerai à son intégration et m’assurerai qu’il se sente épaulé et porté dans son activité, » résume Hélène Moreau-Leroy, fière d’accompagner le jeune marin sur le circuit Figaro Bénéteau. « Architecte naval, ingénieur et passionné de voile, Gwénolé suit un parcours dicté par son talent et ses motivations. Son énergie, sa volonté et sa créativité font de Gwénolé un parfait représentant des valeurs du Groupe et de nos jeunes Talents » Hélène Moreau-Leroy, 49 ans, est diplômée de l’Insa Lyon, ancienne directrice des programmes de Messier-Bugatti-Dowty, elle mène la barre d’Hispano-Suiza (Safran) depuis 2013. « Que ce soit dans l’aéronautique ou dans la voile, c’est la passion qui nous anime ! Je souhaite à Gwénolé beaucoup de bonheur à vivre cette belle aventure, » poursuit la marraine du Figaro Safran Guy-Cotten.
Un parrain emblématique
Celui que l’on surnomme amicalement « Paulo La Science » officie en tant que grand reporter puis commentateur du Tour de France cycliste depuis 1980 sur France Télévisions. Natif de Concarneau, Jean-Paul Ollivier a toujours était bercé par les histoires de mer de son père marin pêcheur. Ami d’enfance de Guy Cotten, fondateur des usines du même nom, sa passion du journalisme le conduit rapidement loin des côtes bretonnes. « Nous sommes toujours restés très proches, nous étions les enfants du pays. Nous avons fait des kilomètres de vélo ensemble, » se souvient amusé le journaliste. Grâce à Guy, j’ai également rencontré Gilles Gahinet, le père de Gwénolé. Je suis très heureux d’être le parrain de ce joli bateau, car j’ai la sensation que la vocation qui anime aujourd’hui ce jeune marin est très proche de celle qui m’a amené au journalisme. C’est une leçon de courage, et une belle aventure que j’aurais adorée faire, » conclut le parrain de Safran-Guy Cotten.
Source : Mille & une vagues